Les lycéens de Denis-Papin, partis en mission humanitaire à Madagascar, ont terminé leur chantier. Les derniers jours, ils ont enfin pu explorer l’île. Voici leur dernier récit.

Les adolescents ont découvert la faune et la flore locales.
Les lycéens de Denis-Papin, partis en mission humanitaire à Madagascar, ont terminé leur chantier. Les derniers jours, ils ont enfin pu explorer l’île. Voici leur dernier récit.
Les adolescents ont découvert la faune et la flore locales.
« Nous sommes le jour « J ». Incroyable mais vrai, on a fini. Tout est installé, câblé, branché, les panneaux sont tous bien accrochés sur les tôles des toits. On vient nous dire que ce soir, une fête au village est organisée pour célébrer l’événement. On a vu passer des hommes avec d’énormes branches de bananiers qu’ils sont allés planter près de l’école et à l’entrée des bâtiments d’en haut. Ça y est, c’est fixé, c’est à 17 h que l’on va remettre le chantier aux villageois, juste avant que la nuit tombe. En attendant, on a quartier libre : farniente, randonnées dans les montagnes, baignades dans les cascades, un tour dans le village…
Les villageois malgaches ont enfin l’électricité, grâce aux élèves et à leurs encadrants.
Au 5e jour, les choses semblent se compliquer pour la délégation de lycéens romorantinais de Denis-Papin actuellement en mission à Madagascar (lire la NR d’hier). Récit.
Selfie dans les montagnes qui surplombent le village investi par les Romorantinais.
Les huit lycéens de Denis-Papin actuellement en mission à Madagascar (lire la NR d’hier) se sont mis au travail. Récit des trois premiers jours de chantier, sous l’œil et la plume d’Anne-Marie Lannegrand, leur enseignante.
Petite pause bien méritée pour les huit lycéens et les ingénieurs qui les épaulent.
Les huit lycéens de Denis-Papin, partis à Madagascar en mission humanitaire le 10 mars dernier, ont envoyé à La Nouvelle République leurs premières impressions. Voici quelques extraits de leur carnet de bord, à la découverte de l’île où une mission à but humanitaire les attend quinze jours durant dans deux villages, situés à 100 km de la capitale, Tananarive.
Les huit lycéens romorantinais et leurs deux enseignants accompagnateurs ont dû acheminer le matériel jusqu’au village.